Rencontrés sur une plage de Crozon dans le Finistère, Rémy et Yohan, 27 ans, sont deux surfeurs basques en quête de la bonne vague, de paysages sauvages et surtout d’une plage pour passer la nuit dans leur camion.

Nous partageons  leurs réflexions sur le vivant, les pieds dans l’eau, pendant une demi-heure.

SÉRIE  » LES INCONNUS »

Le programme « Inconnus »  part à la rencontre d’une personne croisée au hasard d’un sentier, chemin ou sillon dans un grand espace sauvage. Rendez-vous n’importe où et à n’importe quelle heure, pourvu qu’il y ait de l’espace.

Nous croisons chaque jour des dizaines de personnes (des centaines pour certains, aucune pour d’autres). Nous nous intéresserons à celles qui sont seules dans les grands espaces et qui ne croisent pas grand monde.
Elles ont les pieds dans le sable de la baie de Morlaix, randonnent dans le parc du Mercantour, sont sur leur bateau en chantier dans le port de Dunkerque ou sur une mobylette dans les Cévennes. Où ces inconnus se rendent-ils ? Quel est leur rapport aux grands espaces, à la solitude, au silence, à la nature ?
Au hasard d’une plage, à la croisée des champs, sur un bateau ou à vélo, à midi ou à minuit, nous partageons son quotidien pendant une demi-heure minimum. 

En découvrant par hasard un beau village vendéen, nous croisons la route de deux hommes chargés d’un matériel plutôt atypique. Intrigués, nous interrogeons ces deux joyeux quadragénaires qui se prénomment David et Dario. L’un est « du cru » l’autre péruvien. Les deux amis sont à la recherche d’un un lieu inspirant pour peindre à l’aquarelle.
Entre fraîcheur, joie de vivre et campagne, « Inconnus » s’installe avec eux au bord de l’eau pendant une heure.
Découvrez deux magnifiques artistes, simples et passionnés ».

SÉRIE  » LES INCONNUS »

Le programme « Inconnus » part à la rencontre d’une personne croisée par hasard dans les grands espaces.
Nous croisons chaque jour des dizaines de personnes (des centaines pour certains, aucune pour d’autres). Nous nous intéresserons à celles qui sont seules dans les grands espaces et qui ne croisent pas grand monde.
Elles ont les pieds dans le sable de la baie de Morlaix, randonnent dans le parc du Mercantour, sont sur leur bateau en chantier dans le port de Dunkerque ou sur une mobylette dans les Cévennes. Où ces inconnus se rendent-ils ? Quel est leur rapport aux grands espaces, à la solitude, au silence, à la nature ?
Au hasard d’une plage, à la croisée des champs, sur un bateau ou à vélo, à midi ou à minuit, nous partageons son quotidien pendant une demi-heure minimum. 

D’un pas décidé, Dominique marche seul dans une forêt ligérienne à la recherche d’un peu de fraîcheur. A 49 ans, il vit dans un camion aménagé qui devient une véritable fournaise l’été. L’occasion est parfaite pour se défouler et pratiquer son sport favori: la marche à pied.

Au calme et à l’ombre des arbres, Dominique nous livre sa vision très pessimiste de la société  et  déclare  son  amour à la  nature et   à la solitude. Il  nous  présente  sa  vie de  « marginal » qu’il revendique depuis toujours. Dominique estime que seul ce mode de vie permet de rester entier et libre. Il refuse toutes formes d’engagement à long terme; Il a bien essayé d’avoir une maison et de se marier, mais il le regrette.

Un homme « Born to be wild » (« né pour être sauvage »). 

SÉRIE  » LES INCONNUS »

Le programme « Inconnus »  part à la rencontre d’une personne croisée au hasard d’un sentier, chemin ou sillon dans un grand espace sauvage. Rendez-vous n’importe où et à n’importe quelle heure, pourvu qu’il y ait de l’espace.

Nous croisons chaque jour des dizaines de personnes (des centaines pour certains, aucune pour d’autres). Nous nous intéresserons à celles qui sont seules dans les grands espaces et qui ne croisent pas grand monde.
Elles ont les pieds dans le sable de la baie de Morlaix, randonnent dans le parc du Mercantour, sont sur leur bateau en chantier dans le port de Dunkerque ou sur une mobylette dans les Cévennes. Où ces inconnus se rendent-ils ? Quel est leur rapport aux grands espaces, à la solitude, au silence, à la nature ?
Au hasard d’une plage, à la croisée des champs, sur un bateau ou à vélo, à midi ou à minuit, nous partageons son quotidien pendant une demi-heure minimum.