Aucun résultat
La page demandée est introuvable. Essayez d'affiner votre recherche ou utilisez le panneau de navigation ci-dessus pour localiser l'article.
« Il y a peu d’êtres humains qui ont déjà vécu la disparition d’un glacier. »
En septembre 2023, le glacier de Sarennes, dans les Hautes-Alpes, est officiellement déclaré disparu. Sous l’effet du dérèglement climatique, il ne reste presque plus aucune plaque de glace, et les mesures s’arrêtent.
Pour marquer les esprits et commémorer, une poignée de scientifiques, glaciologues et habitant•es de la région, se sont rendu•es sur place le dimanche 31 août 2025.
Que va-t-il rester de Sarennes ? Quels souvenirs imprimera-t-il dans la mémoire collective ? Peut-on désigner les responsabilités qui ont accéléré sa mort ?
Entre témoignages d’intimes du glacier et discours scientifique, le documentaire s’immerge dans cette randonnée sous forme d’hommage funèbre.
Intervenant.e.s
Benoit Chanasse, géographe et secrétaire adjoint de L’International Glaciological Society
François Valla, ancien glaciologue
Phillippe Schoeneich, géographe et coorganisateur de la marche
Mathieu Crétet, chargé de mission Espaces protégés à Mountain Wilderness
Prises de son, réalisation et mix
Brice Andlauer
Mise en ligne
2 octobre 2025
Enregistrements
Août 2025
Production
Silence podcast
Crédit musique
Sarennes – Brice Andlauer
Crédit photo
Brice Andlauer
Brice Andlauer
Réalisateur documentaire et musicien, je travaille principalement pour la radio (France Culture, RTS, RFI, RTBF) et réalise des podcasts indépendants (Il était il n’était pas, La traversée, Outsiders, Colonel Raslan).
Régulièrement sur les routes avec mes micros, je réalise des créations sonores et musicales aux tonalités aériennes et oniriques, avec une forte dimension électro-acoustique. Les notions d’ailleurs, de rapport à l’altérité et de rencontre occupent une place centrale dans mes documentaires.
La page demandée est introuvable. Essayez d'affiner votre recherche ou utilisez le panneau de navigation ci-dessus pour localiser l'article.
Par Brice Andlauer
« Quand tu arrives sur l’île, tu prends vite conscience que c’est un trésor »
C’est une île en forme de croissant. Des peupliers et des frênes centenaires bordent son rivage et masquent son existence. Une flore riche et foisonnante s’y épanouit, la faune s’amuse dans des bosquets, « mangroves », prairies sauvages et hautes herbes folles. La biodiversité y est remarquable.
Sommes-nous en mer, au milieu d’un fleuve ou d’un lac ?
Autrefois habitée par quelques humains qui travaillaient sa terre, l’île est aujourd’hui occupée par des lapins, sangliers, chevreuils, renards, moutons, martins-pêcheurs, chouettes et goélands. Sébastien s’y promène souvent, très souvent même, malgré son accès difficile, en rêvant d’y habiter un jour.
Balade sur les traces de son enfance.
Intervenant.e.s
Sébastien, amoureux de « son » île
Prises de son, réalisation et mix
Aurélien Frances
Mise en ligne
19 juin 2025
Enregistrements
Juin 2025
Production
Silence podcast
Crédit musique (libre de droits)
HillToptrio – Cabin on the Hill
Bishara Haroni – Gnossienne N°2
Crédit photo
Aurélien Frances
Aurélien Frances
Formé à l’ESJ, Aurélien a plus de 15 ans d’expérience dans le documentaire et le reportage audio (la BBC, Arte Radio, la RTBF, France Culture, RTS, Euradio, la Radio de la mer, les podcasts de Ouest France). Portraits, histoires particulières,
« tranches de vie ».
Ses productions audio sont informatives, tantôt scientifiques tantôt sociétales. La rencontre est centrale dans son travail. Il défend une narration lente mais sans longueurs.
Par Aurélien Frances
« Certaines plantes sont capables de pousser
sur des sols très toxiques »
La végétation des montagnes est divisée en étages : collinéen, montagnard, subalpin, alpin et nival. Chaque étage abrite des types de végétation qui le caractérise. Dans les alpes françaises, l’étage alpin commence à 2 300 mètres d’altitude en moyenne. Il s’agit de la limite naturelle des forêts.
Au jardin du Lautaret, les plantes alpines et subalpines proviennent du monde entier.
Leurs semences ont été récoltées dans les montagnes alentours ou proviennent du réseau international d’échanges de graines entre jardins botaniques. Le jardin du Lautaret envoie chaque année 1 500 sachets de graines à travers le monde et en reçoit une centaine.
Découverte de la richesse du jardin avec la guide Jade Shum, le jardinier Noé Simler et le directeur adjoint Rolland Douzet
Intervenant.e.s
Jade Shum, guide stagiaire au jardin
Rolland Douzet, directeur adjoint du jardin du Lautaret
Noé Simler, jardinier
Prises de son, réalisation et mix
Aurélien Frances
Mise en ligne
6 mai 2025
Enregistrements
Août 2024
Production
Silence podcast
Crédit musique (libre de droits)
Yehezkel Raz – Dusk
Crédit photo
Aurélien Frances
Aurélien Frances
Formé à l’ESJ, Aurélien a plus de 15 ans d’expérience dans le documentaire et le reportage audio (la BBC, Arte Radio, la RTBF, France Culture, RTS, Euradio, la Radio de la mer, les podcasts de Ouest France). Portraits, histoires particulières,
« tranches de vie ».
Ses productions audio sont informatives, tantôt scientifiques tantôt sociétales. La rencontre est centrale dans son travail. Il défend une narration lente mais sans longueurs.
Par Aurélien Frances
« Les premiers chercheurs avaient l’ambition d’améliorer la vie des paysans des hautes montagnes »
Le jardin du Lautaret est situé au croisement des Alpes du nord et des Alpes du sud, des alpes internes et externes. La diversité des influences climatiques et la pluralité géologique des terrains ont favorisé une diversité botanique naturelle. La flore française compte environ 6 000 espèces au total. Au Lautaret, on en dénombre à peu près 1 500. Soit 1/4 de la flore française sur quelques km2 seulement !
Le jardin du Lautaret accueille chaque année, été comme hiver, des chercheurs et des chercheuses du monde entier, qui viennent étudier les effets des changement globaux, c’est à dire les effet du changement du climat et des pratiques humaines sur les écosystèmes montagnards.
Rendez-vous à 2100 mètres d’altitude pour rencontrer une partie de l’équipe du jardin qui travaille sur les expériences scientifiques.
Intervenant.e.s
Rolland Douzet, directeur adjoint du jardin du Lautaret
Enzo Franceschi, technicien de recherche au jardin
Prises de son, réalisation et mix
Aurélien Frances
Mise en ligne
6 mai 2025
Enregistrements
Août 2024
Production
Silence podcast
Crédit musique (libre de droits)
Enzo Bellomo – Serenity
Michael Goldschlager – Cello suite N°1 in G major IV. Sarabande
Raphaël Angelini – Less than Tomorrow
Crédit photo
Aurélien Frances
Aurélien Frances
Formé à l’ESJ, Aurélien a plus de 15 ans d’expérience dans le documentaire et le reportage audio (la BBC, Arte Radio, la RTBF, France Culture, RTS, Euradio, la Radio de la mer, les podcasts de Ouest France). Portraits, histoires particulières,
« tranches de vie ».
Ses productions audio sont informatives, tantôt scientifiques tantôt sociétales. La rencontre est centrale dans son travail. Il défend une narration lente mais sans longueurs.
Par Aurélien Frances
« Si on regarde suffisamment en profondeur, la réalité change, pour devenir extra-ordinaire»
Niall Naessens, peintre et graveur irlandais, reconnaît une affinité avec les peintres romantiques tels que William Turner, John Constable, Caspar David Friedrich… et interroge leur démarche en regard de son propre rapport au paysage.
Il compose ses tableaux avec une profondeur temporelle, remontant par strates jusqu’à l’âge glaciaire qui a formé les falaises de la péninsule de Dingle.
Le beau et l’angoisse se mêlent alors que nous contemplons la mer à Sàs Creek, un des lieux inspirants de l’oeuvre de Niall Naessens.
Intervenant
Niall Naessens, dessinateur et graveur de paysage
Prises de son et réalisation
Nathalie Ong
Mix
Aurélien Frances
Mise en ligne
10 avril 2025
Enregistrements
Août 2024
Production
Silence podcast et Micromondes
Crédit musique (libre de droits)
The last Rose of Summer – Heinrich Wilhelm Ernst par Julian Sitkovetsky
Shan Shui – Nathalie Ong (droits cédés pour cette production)
Crédit photo
Niall Naessens
Nathalie Ong
Nathalie se forme à la création radiophonique à Phonurgia Nova et à la composition électroacoustique à la Cité de la Musique de Marseille. Elle explore avec la compagnie Micromondes une pratique sonore du portrait et du paysage, pour mieux comprendre le lien des humains à leur environnement.
La page demandée est introuvable. Essayez d'affiner votre recherche ou utilisez le panneau de navigation ci-dessus pour localiser l'article.
Par Nathalie Ong